Même en étant plein, y a toujours moyens de se plaindre, geindre avec mes yeux
Des c?urs vont s?éteindre, hana, rien n?as changé, mentalité, du bled
Rho, nif, respect, fierté, jamais, j?changerais ma peau, marron, le daron
La bas, moi au milieu des barons, faut c?qu?il faut, la caillasse manque,
Intelligent contée, inculte escroqué, base, pays, du gaz, on fait des fâchés
Sans butagaz, sachet, la blanche, représente ma fierté, mon peuple, se bat,
Tu vois, jamais ont s?est arrêté, chez nous, tous les jours des princesses
Meurt, s?meurt, après l?horreur le c?ur ne vit plus, sans partie, patrie
Si j?suis parti, c?est d?ma faute, certain tahane, accepter pas leur vie, trop
D?monde j?fuis, tu manques, cette encre, est peut d?chose, j?guette mon retour,
Comme un gardien, devant sa tours, close, quelque prose pour ma famille
Que j?connaît même pas, aux 20ème siècles, c?est pas admis, c?est pas que,
J?peux pas, mais j?veux pas , y allé, je suis pas un Zorro, j?dis seulement
C?que j?ressens, et pas en solo, c?est la ville, l?pays, l?monde qui cris, et certain,
Comme moi écrit, l?bled mon pays, plus d?liberté d?expression, ya Hassima Chahal matou, alyk
Nasse, ya moussiba, seul , une heure, d?avion, nous sépare,
Seul, sur notre dame, à l?horizon, je rêve de te voir en bonne santé
Quelle gloire, pour un pays, sans peuple, déchirée, manipulée pour l?blé
REFRAIN : X2 De la, je pense à toi, le bled, mon pays, Hassima avec ces tréhi
Est ce là le prix d?une liberté, d?une liberté, oublier
Avec ces tueries, l?bled c?est pourri
Assis en silence sans cesse, je ressasse mes souvenirs
Près de ma fenêtre le reflet reflète une ombre sombre
Sur ma feuille blanche, pour toi la blanche qui pleure, loi des
Terreurs près de mon c?ur, la peur se meure quand vient la nuit ici
J?écris pour ce qu?on oublie au bled mon pays est-ce ça le prix le prix
D?une liberté oublier sous les cris escarpés de là, mon crayon
Noir fais couler mes pensées, pour elle la blanche persécutée d?un soir
Au fond de ma mémoire se repose l?espoir sur des lignes fines
La guigne du désespoir faut, voir quand elle tient dans sa main
Le destin mesquin, mesquina, oh baïda mon amour pour toujours
Dans le jour reflète
Pourvu que tous s?arrête, je le souhaite,
Sur mes lettres froissées mon seul v?ux guette
Mes versets pour ces dames vêtues de blanc hanté par le drame
Sous les armes, loin du charme, j?ai vu des larmes tombées en
Silence sur le seuil en deuil couvert de feuille morte déçue
Déchiré par une guerre qui continue, qu?est devenu le respect
Un passé à force d?y penser, j?ai mal au c?ur et mes phrases cessent d?avancés. |